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Description de l’article de blog : Interview de Frédéric Buisson par Philippe Ferrer au salon Grimoires de lumières de Calan

Frédéric Buisson, Philippe Ferrer

10/25/202439 min read

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Philippe : Chère auditrice, cher auditeur, Bienvenu en France au pays des passionnés par les énergies subtiles. J’ai le plaisir d’accueillir un géo et bio énergéticien qui travaille sur les fréquences et qui s’appelle Frédéric BUISSON. Son site web est frequences au pluriel tiret energétiques au pluriel sans accent point fr. Vous pouvez le joindre à cobuiss, c-o-b-u-i-s-s, arobace gmail point com.

Frédéric : Bonjour, Philippe

Philippe : Bonjour. Alors énergéticien. Fréquence. Tous ces mots, ça veut dire énormément de choses pour toi. Est ce que tu peux nous expliquer un peu ce qu’est ce que tu fais avec plaisir ?

Frédéric: Quand tu te promènes en forêt et que, à la fin de sa journée, une promenade, tu te sens ressourcé. En fait, tu as absorbé un certain nombre de choses, notamment des fréquences, des fréquences émises par la Terre, le Ciel et moi. Moi, je travaille sur ces ambiances là et je vais plutôt chercher des endroits spécifiques et notamment des sites sacrés. Car en général, ces sites sacrés ont été identifiés comme tels parce qu’ils ont des très très belles énergies.

Philippe : Et qu’est ce que tu en fais de ces énergies quand tu vas dans un site sacré où tu ressens d’être toi personnellement aussi, toi qui les ressent personnellement d’ailleurs.

Frédéric : À la base, c’est le ressenti personnel. Après, on peut commencer à bosser, mais c’est un peu comme rentrer dans une bonne pâtisserie et sentir un bon gâteau. C’est exactement pareil. Si on ne sent pas le gâteau, la suite va être compliqué. Donc, une fois qu’ils ont ressenti un peu ces énergies, tu sens qu’elles peuvent apporter quelque chose.

Philippe : Qu’est ce que tu en fais ? Qu’est ce que tu fais quand tu vas sur ces lieux ?

Frédéric : Alors j’essaye déjà de les absorber, de les ressentir pour moi, pour voir s’il y a un effet. Je l’ai teste parce que j’ai des protocoles personnels pour savoir si elles sont positives ou négatives. A priori, moi je travaille uniquement que sur du positif donc, et à partir de ce moment là, je vais ouvrir mes mallettes techniques scientifiques et je débarque avec un ordinateur assez sophistiqué. Ca s’appelle un ordinateur biophysique qui est scalaire et qui va analyser les énergies du lieu et qui va venir me confirmer tel ou tel point que j’avais pu supputer sur cet ordinateur. Il y a un logiciel qui va analyser. Alors oui, c’est un truc un peu sophistiqué. Il y a un oscilloscope, ça va tester des fréquences, ça va tester de 0 à 25000 hertz. Alors on peut tester les lieux. On peut tester les personnes, on peut tester les objets, on peut même tester les égregores. Si on est un peu doué et bon, je l’utilise surtout pour tester les lieux. Et puis, par exemple, quand je suis au Mont-Saint-Michel et que je suis à la verticale de la chapelle Notre-Dame sous terre, c’est une très très belle énergie qui en ressort. Donc je vais tester ça. Et puis je vais l’enregistrer et en enregistrant, je vais pouvoir dans mon logiciel démonter chacune de ces vertus et classer ces vertus dans une espèce de petite fiole digitale, des petites fioles digitales.

Philippe : Alors, c’est quoi fioles digitales ? C’est des petites clés USB, C’est quoi ? C’est comme des clés USB sur le bureau.

Frédéric : En fait, je vais les classer par vertu. Donc je vais avoir des sons vibratoires très bizarres en fait. Alors c’est des fréquences, donc ce n’est pas très agréable à entendre. Mais par contre, on va les diffuser. Et on en parlera tout à l’heure. Donc ces fréquences ont des vertus particulières, Par exemple, du 120 Hz, ça va être une fréquence qui va assurer une stabilité et une sécurité. Et donc, quand on est sur des sites sacrés qui ont comme vertu de créer de la stabilité, on peut supposer que des personnes à l’époque qui avaient besoin d’ancrage, d’enracinement, ça va être plutôt des sites qui vont émettre ce style de fréquences. Et moi, je les explore, les identifient si ça me plait et je les classe.

Et puis pour de très jolis sites qui vont ouvrir le chakra du coeur. On est plutôt sur des niveaux vibratoire de 400 Hz qu’on entend pas, que notre corps ressent. Et puis, il y a des sites comme le cercle de Broadgar car en Ecosse qui vont plutôt nous connecter sur d’autres plans de conscience. Et là, on monte très haut. Au niveau des fréquences, on peut partir à partir de 800 Hz jusqu’à 25000 Hz. Ces sites ont été construits sur des endroits qui génèrent des fréquences vibratoires guérisseuses ou thérapeutiques.

Philippe : Est-ce que c’est parce qu’il y a ces sites que ces fréquences sont générées ou l’inverse ?

Frédéric : Alors je n’ai pas la connaissance et le recul suffisant, mais l’intuition et mes lectures tendent à m’indiquer le fait qu’au début les chasseurs cueilleurs suivaient le gibier et le gibier passaient toujours à un certain endroit. Et puis d’ailleurs, les apiculteurs parlent encore actuellement de couloirs abeilles et les couloirs à abeilles correspondent en géobiologie à des courants du métal « or » qui sort du sol, de la vibration du métal « or ». Donc, on peut imaginer que c’est le chasseur cueilleur qui en passant toujours au même endroit va s’y s’arrêter et ressentir quelque chose d’intéressant. Donc, à mon avis, ils vont appeler le sorcier ou le druide de l’époque qui lui va venir confirmer ce que ressent le ceuilleur-chasseur. Et effectivement, en appréciant ce lieu, ils vont identifier naturellement les énergies nourrissantes et leurs vertus particulières pour eux et ce, spontanément, parce que je pense que c’étaient des gens beaucoup plus sensibles que nous. Et ils vont se dire s’l y a ces vertus là, et bien construisons un lieu, mettons des pierres en les positionnant par rapport au soleil et aux étoiles. Et puis inventons un rituel en y associant une intention. Et puis, le collectif que nous nous sommes, on s’engage chaque semaine ou chaque mois ou chaque année à venir porter des offrandes, à faire des prières et le lieu va combiner les énergies du sol, du ciel, avec les prières et les intentions. Voila, on a une première base et on met des pierres vont servir de diffuseur. Et puis l’intention humaine va cimenter cet ensemble et ça va devenir un site sacré.

Philippe : D’accord. Et donc, qu’est ce que tu en fais de ces fréquences là ? Donc tu vas les diffuser dans un but de mieux être.

Frédéric : Dans un premier temps, j’organisais des stages sur des sites et je me suis rendu compte que, par exemple, sur un site mégalithique en Bretagne qui s’appelle l’éléphant, à la fin des stages que j’organisai, les énergies de ce site faisaient que les stagiaires s’échangeaient spontanément leurs cartes de visite ou leur numéro de téléphone, quel que soit le groupe, et à chaque fois, c’était la même chose. Donc je me disais mais c’est quoi cette histoire ? Et quand j’ai étudié ce site avec l’ordinateur scalaire, je me suis rendu compte que ce site stimulait l’entente cordiale, la compréhension mutuelle et le plaisir d’être ensemble.

Une autre anecdote rigolote. Il existe un site à grasse dans le sud de la France qui libère la parole. Si on s’assoit sur un banc qui est près d’un arbre sur ce site précis et qu’on pose une question à une personne, et bien la personne va parler comme une pipelette. C’est super rigolo.

Philippe : D’accord, Oui, donc, c’est comme ça que tu as pu voir que telle ou telle fréquence avait telle ou telle vertu.

Frédéric : Ben oui, c’est ça Philippe, au départ, j’ai vu que tel ou tel site avait un impact différent sur les gens. Donc j’ai débarqué avec mon ordinateur, puis j’ai analysé chaque chose et je me suis rendu compte que chaque site avait des énergies particulières et en les séparant, en les classant, on pouvait les mettre au service d’autrui. Et ça commençait à faire une bibliothèque très intéressante.

Philippe : Alors allons y maintenant. Comment tu diffuses justement ces fréquences ?

Frédéric : Voilà, j’ai fabriqué un petit diffuseur de fréquence en mode scalaire. Il y a une sorte de lecteur MP3 qui renferme les datas de la fréquence et si j’en mets plusieurs, cela fait une playlist de fréquences. Par exemple, là sur mon lecteur, je vais avoir une fréquence très intéressante qui est une fréquence qui permet de se protéger énergétiquement et spirituellement que j’ai été cherchée notamment au Mont Saint Michel. Donc exemple, si je vais dans un lieu où je sais que je vais rencontrer des énergies qui ne me mettront pas forcément à l’aise, je vais me diffuser cette fréquence. En fait, il y a des énergies du Mont Saint Michel et d’autres sites sacrés dont la vertu principale est de protéger les gens qui s’y trouvent.

Et je te dis d’autres fréquences qu’il y a dans le lecteur : la fréquence « libérer les blocages », la fréquence « se calmer et se préparer à une douce nuit », la fréquence « gérer son stress », la fréquence « se sentir valorisé en toute circonstance »… Et c’est infini au gré des besoins

Allez, je finis sur une fréquence qui a la capacité à stimuler l’activité tout au long de la journée que j’appelle « aller de l’avant ». Cette fréquence, elle était récupérée sur un site en Bretagne où on a ressenti qu’une fois qu’on est là-dessus, on a envie de faire plein de choses, d’abattre plein de boulot. Donc on s’est dit on va, on va capter ça.

Philippe : C’est une très bonne idée à fournir ces fréquences pour que les chefs d’entreprise la diffusent dans leur entreprise comme ça.

Frédéric : Pas tout-à-fait, Une fréquence, on l’utilise par rapport à un besoin qui est nous est propre. On ne peut pas imposer quelque chose à quelqu’un. Il faut exprimer un besoin qui est une forme d’autorisation. C’est super important. Donc c’est pour ça que je m’adresse à des gens qui expriment des demandes. OK, sinon, je passe dans un mode « manipulation » qui ne correspond pas mes valeurs. Ca ne m’a jamais intéressé d’autant plus que je sais comment ça se termine, ça ne me plaît pas. En tout cas, ça ne correspond pas à un bon gâteau , ce n’est pas un bon gâteau et c’est comme c’est mon critère d’évaluation, je vais exclusivement sur du positif, c’est tout.

Philippe : Mais, alors comment tu sais que telle personne a besoin de telle fréquence ?

Frédéric : Avec l’ordinateur, je vais analyser l’émission vibratoire de la personne. Et puis identifier ses zones de dissonance. Une dissonance vibratoire, ça fonctionne comme un aimant. Par exemple, si j’ai une dissonance vibratoire avec une blessure d’abandon, eh bien, je vais me retrouver dans des situations où je vais tout le temps être abandonné ou banni d’un groupe ou avoir des difficultés à rentrer dans un collectif. Ca fonctionne comme ça. Et cette dissonance, elle peut nous suivre toute la vie. Donc avec l’ordinateur, j’arrive à la visualiser et à l’identifier. Et pour peu que la personne me fasse la demande de corriger et de dissoudre cette blessure avec les fréquences, je vais pouvoir lui émettre des fréquences qui vont dissoudre cette fréquence.

Après avoir identifié cette blessure d’abandon, par exemple sur cette personne, je travaille avec elle. Bien évidemment, si tel est sa demande et là on est d’accord et je vais fabriquer une fréquence qui va venir dissoudre cette blessure et cette fréquence, je peux la fabriquer de manière très artificielle parce que je sais exactement que c’est du 395 Hz.

Philippe : Et donc la fréquence adéquate, tu la récupères dans ta bibliothèque ?

Frédéric : Absolument, cette fréquence, je la récupère dans ma bibliothèque qui provient de Sites Sacrés qui rayonne cette vertu. Donc c’est à dire que la personne non seulement va avoir quelque chose, ce que j’appelle une fréquence haute couture que pour elle, mais en plus elle va pouvoir être irradiée des vertus de sites sacrés que j’ai pu enregistrer.

Philippe : Mais, quand tu m’as montré, j’ai constaté qu’il n’y avait aucun son qui sortait du boitier.

Frédéric : Alors effectivement, toute la difficulté de mon activité c’est que je travaille avec des énergies scalaires inaudibles silencieuses qui ne se voient pas et non pas des énergies sonores mécaniques qui s’entendent. C’est à dire que quand la fréquence est diffusée avec le boitier scalaire, on n’entend rien, c’est inaudible. Pourquoi ? Parce que c’est un vortex d’énergies subtiles qui est émis par le boitier. Quand on va sur YouTube et qu’on écoute les fréquences bienfaisantes, on les écoute avec nos oreilles. En fait, c’est du son mécanique. Ce sont des molécules d’air qui s’entrechoquent, qui viennent frapper notre tympan et les terminaisons nerveuses qui sont associées à notre tympan vont transformer ça en son. Sauf que les énergies qui sont diffusées par le boitier sont inaudibles. C’est comme quand on va se ressourcer en forêt sans écouteur, la forêt n’émet pas de musique symphonique ou de super concert qui nous fait du bien. Ce sont les énergies subtiles de la forêt que l’on reçoit. Et bien, là avec le boitier, c’est pareil. Et ce quelque chose subtile, c’est ce qu’on appelle un champ de torsion droit.

Philippe : C’est quoi un champ de torsion droit ?

Frédéric : Un champ de torsion droit, c’est un flux d’énergie qui se diffue de manière hélicoïdale sur la droite et qui valorise, qui promotionne le vivant. A l’inverse du champ de torsion gauche qui est toxique et anti vivant. Et ce que génère mon diffuseur qui possède un générateur scalaire qui ne tourne exclusivement qu’à droite, ce sont des énergies positives. Ca ne peut pas tourner à gauche, donc ça veut dire que ce qui sort de mon diffuseur scalaire, c’est un champ de torsion droit. Il y a à l’intérieur, un dispositif électronique qui est baigné dans de la cire d’abeille parce que la cire d’abeille a une vertu de diffusion d’information extraordinaire. Quand l’abeille découvre un champ mellifère et qu’elle rentre dans la ruche, elle va faire vibrer ses ailes sur le rayonnage qui est rempli de cellules de cire. C’est comme si elle utilisait un langage vibratoire que toutes les abeilles pouvaient entendre instantanément et être au courant de l’information à propos de la location du champ mellifère. Et puis, pour assurer encore un peu plus, je mets une pierre de Shungite sur l’émetteur qui a la vertu de diffuser les énergies positives et surtout ne pas capter les énergies négatives. Donc on n’a pas besoin de nettoyer la pierre chaque semaine.

Philippe : C’est une idée personnelle. Où tu as été inspirée par d’autres gens ?

Frédéric : Très honnêtement, ça s’est fait petit à petit, de manière naturelle. Je pense que forcément, il y a eu un guide quelque part qui m’a aidé. En tout cas, il y a une intuition. On essaye, si on échoue, on va ailleurs, Si ça marche, on creuse et on va plus loin en profondeur et en quête de compréhension. Et quand je fabrique ces fréquences pour les gens, je leur dis qu’effectivement c’est subtil, c’est invisible, c’est inaudible. Et que ça marche. En fait, leur test, c’est leur changement de comportement et les nouvelles synchronicités qui se présentent. Si je reprends mon exemple de blessure d’abandon et si la fréquence que j’ai créée à la personne fonctionne, alors toutes les personnes qui venaient se nourrir sur elle de la blessure d’abandon vont voir ailleurs et de nouvelles rencontres apparaissent

Philippe : Et donc tes clients viennent te raconter après coup ?

Frédéric : Donc forcément, à un moment, dans le début de la relation, il faut qu’il y ait confiance en moi. Mais surtout, ça va être les interactions et les situations qui vont arriver à cette personne après coup, qui vont prouver que j’ai raison, que j’ai raison, que le boulot a été bien fait. Je te donne un exemple, j’ai en ce moment comme client un chef d’entreprise qui veut travailler l’énergétique et surtout il a une problématique, c’est qu’il va abandonner certains pans de sa clientèle. Il ne sait pas comment faire car cela fait 25 ans qu’ils sont en relation, mais c’est toujours tendu, et cetera. Donc on a travaillé une fréquence particulière, donc il se la diffuse 2 fois par semaine. Mes fréquences fabriquées durent 21 mn. Et la semaine dernière, il m’a appelé. Il m’a dit Frédéric, est ce que tu as fait quelque chose ? Parce que les clients, tu te souviens, je ne savais pas comment me dépêtrer d’eu. Et bien, ils sont partis d’eux-mêmes.

Et c’est tout à fait compréhensible. C’est parce que sa résonnance dissonante n’existe plus dans ton corps vibratoire, donc ses clients n’ont plus cet élément vibratoire qui les attirent. Donc, comme ils sont plus nourris de cette manière là, eh bien ils vont voir ailleurs. Ils l’ont quitté.

Philippe : Et bien, Frédéric, cette interview passionnante touche à sa fin. Un grand merci à toi. Je rappelle ton site web est frequences au pluriel tiret energétiques au pluriel sans accent point fr. Vous pouvez joindre Frédéric à cobuiss, c-o-b-u-i-s-s, arobace gmail point com.

Frédéric : Au revoir Philippe et merci, merci, merci encore.

 

1- Un – Bonjour Philippe, je vous remercie infiniment de me recevoir

2- Deux – Je vais t’expliquer, Philippe. Je vais me servir d’une comparaison. Quand tu te promène en forêt et que, à la fin de ta journée de promenade, tu te sens ressourcé. Qu’est-ce-qui-s’est-passé ? En fait ? Ton corps a reçu un certain nombre de choses, notamment des énergies, des vibrations qui sont des fréquences émises par la Terre, le ciel. Mon travail consiste à travailler sur ces énergies là et je vais plutôt chercher des endroits spécifiques et notamment des sites sacrés. Car en général, ces sites sacrés ont été identifiés comme tels parce qu’ils ont des très, très belle énergie.

3- Trois – A la base, c’est le ressenti personnel. Après, on peut commencer à travailler, mais c’est un peu comme rentrer dans une bonne pâtisserie et goûter un bon gâteau. C’est exactement pareil si on ne sent pas ou qu’on à pas les clés pour évaluer la qualité de la pâtisserie, la suite va être compliquée. Donc une fois qu’on a ressenti et apprécié ces énergies du Site Sacré, on sait ou on a l’intuition de comment elles peuvent apporter quelque chose.

4- Quatre – Alors j’essaye déjà de les absorber, de les ressentir pour moi, pour voir s’il y a un effet. Je les évalue parce que j’ai des protocoles personnels pour savoir si elles sont positives ou négatives. Moi je travaille uniquement que sur du positif. A partir de ce moment là, je vais débarquer avec mes mallettes techniques scientifiques et je vais me servir d’un ordinateur assez sophistiqué. C’est un ordinateur scalaire biophysique auquel est associé un oscilloscope et qui va analyser les énergies du lieu. En fait, il est surtout là pour confirmer mes premiers ressentis. Ce qu’il a de génial, c’est qu’on peut tester les lieux. On peut tester les personnes, on peut tester les objets, on peut même tester les égrégores. Je l’utilise surtout pour tester les lieux. Et puis, par exemple, quand je suis au Mont-Saint-Michel et que je suis à la verticale de la chapelle Notre-Dame sous terre, c’est une très, très belle énergie qui en ressort. Donc je vais tester ça. Et puis je vais l’enregistrer et en enregistrant, je vais pouvoir dans mon logiciel démonter chacune de ces vertus et classer ces vertus dans une espèce de petite fiole digitale.

5- Cinq – Oui, c’est comme des petites clés usb que je vais classer par vertu, donc je vais avoir des sons vibratoire qui ne sont pas faits pour être entendus mais par contre, qui sont conçu pour être diffuser en mode scalaire et on en parlera tout à l’heure. Donc ces fréquences ont des vertus particulières, Par exemple, du 120 Herz Ça va être une fréquence qui va assurer une stabilité et une sécurité. Et donc, quand on est sur des sites sacrés qui ont comme vertu de créer de la stabilité, on peut supposer que des personnes qui avaient besoin d’ancrage, d’enracinement, ça va être plutôt des sites qui vont émettre ce style de fréquences. Et moi je les explore, les identifie. Si ça me plaît et je les classe. Et puis, pour de très jolis sites qui vont ouvrir le chakra du cœur, on est plutôt sur des niveaux vibratoire de 400 Hz qu’on n’entend pas que notre corps ressent. Et puis il y a des sites comme le cercle de BroadGar en Ecosse car en Écosse qui vont plutôt nous connecter sur d’autres plans de conscience. Le Taj Mahal a une vertu de transcendance extraordinaire de l’amour avec un A. Il avait d’ailleurs été conçu dans ce sens. Et sur ces sites, on monte très haut en vibration. Ces sites ont été construits sur des endroits qui génèrent des fréquences vibratoires d’enseignement, de libération, de guérison.

6- Six – Alors je n’ai pas le recul suffisant en termes de connaissance pour affirmer avec certitude qui fait quoi, seulement mon intuition et mes lectures. Au début des temps anciens, les chasseurs cueilleurs suivaient le gibier et le gibier suivait toujours à certains chemin, voire se reposait à certain endroit. D’ailleurs, les apiculteurs parlent encore aujourd’hui de couloirs abeilles et les couloirs à abeilles correspondent en géobiologie à des courants énergétique provenant du métal or qui sort du sol. Donc on peut imaginer que c’est le chasseur cueilleur qui, en passant toujours au même endroit, va aussi s’arrêter et ressentir quelque chose d’intéressant. Donc, à mon avis, ils vont appeler le sorcier ou le druide de l’époque qui lui va venir confirmer ce que ressent le cueilleurs chasseurs. Et effectivement, en appréciant ce lieu, ils vont identifier naturellement les énergies nourrissantes et leurs vertus particulières pour eux. Et ce, spontanément parce que je pense que c’étaient des gens beaucoup plus sensibles que nous. Et ils vont se dire cela, ces vertus là. Eh bien, construisons un lieu, mettons des pierres en les positionnant très précisément sur le lieu et inspirons-nous du soleil et des étoiles. Et puis inventons un rituel en y associant une intention. Et puis, en tant que collectif que nous nous sommes, on s’engage chaque semaine ou chaque mois ou chaque année à venir porter des offrandes, à faire des prières. Et le lieu va combiner les énergies du sol, du ciel avec les prières et les intentions. Voilà, on a une première base et on met des pierres, vont servir de diffuseur énergétique. Et puis l’intention humaine va cimenter cet ensemble et ça va devenir un site sacré.

7- Sept – Dans un premier temps, j’organisais des stages sur des sites et je me suis rendu compte que, par exemple, sur un site mégalithique en Bretagne qui s’apparente à un éléphant, à la fin des stages que j’organisais, les énergies de ce site faisaient que les stagiaires s’échangeaient spontanément leur carte de visite ou leur numéro de téléphone, quel que soit le groupe. Et à chaque fois, c’était la même chose. Donc je me disais mais c’est quoi cette histoire ? Et quand j’ai étudié ce site avec l’ordinateur scalaire, je me suis rendu compte que ce site stimulait l’entente cordiale, la compréhension mutuelle et le plaisir d’être ensemble. Une autre anecdote rigolote Il existe un site à Grasse, dans le sud de la France, qui libère la parole. Il est sur un source et il y a un banc. Si on pose une question à une personne qui est assise sur ce banc, eh bien, la personne va parler comme une pipelette.

8- Huit – Ben oui, c’est ça Philippe. Au départ, j’ai vu que tel site avait un impact bien spécifique sur les gens. Donc j’ai débarqué avec mon ordinateur. Puis j’ai analysé chaque chose et je me suis rendu compte que chaque site avait des énergies particulières et en les séparant, en les classant, on pouvait les mettre au service d’autrui et ça commençait à faire une bibliothèque très intéressante.

9- Neuf – Alors allons y pour expliquer la diffusion de ces fréquences. Voilà, on travaille avec un fournisseur qui fabrique sur nos conseils nos diffuseurs de fréquences en mode scalaire. A ce diffuseur est associé une sorte de lecteur MP3 qui renferme les datas de la fréquence. Et si j’en mets plusieurs, cela fait une playlist de fréquences par exemple. Là, sur mon lecteur, je vais avoir une fréquence très intéressante qui est une fréquence qui permet de se protéger énergétiquement et spirituellement que j’ai été chercher notamment au Mont Saint-Michel. Donc exemple, si j’ai besoin de me protéger, je vais me diffuser cette fréquence. En fait, il y a des énergies du Mont Saint-Michel et d’autres sites sacrés dont la vertu principale est de protéger les gens qui s’y trouvent. Et je te dis d’autres fréquences qu’il y a dans le lecteur. Il y a une fréquence qui permet de se libérer de ses blocages, une fréquence pour se préparer à effectuer un doux sommeil, une fréquence qui permet de gérer le stress, une fréquence qui permet de se sentir valorisé en toutes circonstances. En fait, c’est infini au gré des besoins. Allez je te cite une fréquence étonnante qui a la capacité de booster ton activité tout au long de la journée qui s’appelle « aller de l’avant » Cette fréquence, elle été récupérée sur un site en Bretagne où on a ressenti qu’une fois qu’on est là dessus, on a envie de faire plein de choses, d’abattre plein de boulot. Donc on s’est dit qu’on allait capter ça. Et on l’a fait.

10- Dix – Pas tout à fait. (…) Une fréquence, on l’utilise par rapport à un besoin qui nous est propre et que l’on formule en toute conscience. On ne peut pas imposer quelque chose à quelqu’un. En tout cas, je ne fais pas ça, c’est pas dans mes valeurs. Pour moi, il est essentiel d’exprimer un besoin car c’est une forme d’autorisation. C’est super important. Donc c’est pour ça que je m’adresse qu’à des gens qui expriment des demandes. Sinon je passe dans un mode manipulatoire qui ne me correspond pas. Ça ne m’a jamais intéressé, d’autant plus que je sais comment ça se termine. Ça ne me plaît pas. En tout cas, ça ne correspond pas à une bonne pâtisserie. Ca ne serait pas un bon gâteau et c’est comme c’est mon critère d’évaluation. Et c’est pourquoi je vais exclusivement sur du positif.

11- Onze – Avec l’ordinateur, je vais analyser l’émission vibratoire de la personne et puis identifier ces zones de dissonance. Une dissonance vibratoire, ça fonctionne comme un aimant. Par exemple, si j’ai une dissonance vibratoire correspondante à une blessure d’abandon, eh bien, je vais toujours me retrouver dans des situations où je vais tout le temps être abandonné ou banni d’un groupe ou avoir des difficultés à rentrer dans un collectif qui fonctionne comme ça. Et cette dissonance, elle peut nous suivre toute la vie si on ne la travaille pas. Donc avec l’ordinateur, j’arrive à identifier les dissonances qui sont des manques énergétiques qui ne demandent qu’à être nourris. Et une fois que c’est nourri, c’est dissous, il n’y a pas d’addiction. Donc je crée puis avec le diffuseur j’émets une fréquence qui va venir effacer cette dissonance. Avec telle personne, je travaille avec elle et si on est d’accord et je vais fabriquer une fréquence qui va venir dissoudre cette blessure. Et cette fréquence, je peux la fabriquer parce que je sais très exactement à quoi ça correspond en termes vibratoires.

12- Douze – Absolument. Cette fréquence, je la récupère dans ma bibliothèque qui provient de sites sacrés qui rayonnent cette vertu. Donc c’est-à-dire que la personne non seulement va avoir quelque chose pile poil pour elle, ce que j’appelle une fréquence haute couture que pour elle, mais en plus elle va pouvoir être irradié des vertus de sites sacrés que j’ai pu enregistrer et qui répond spécifiquement à son besoin.

13- Treize – Alors effectivement, toute la difficulté de mon activité, c’est que je travaille avec des énergies scalaires, inaudibles qui sont silencieuses. Et en plus ça ne se voit pas. C’est à dire que quand la fréquence est diffusée avec le boitier scalaire, on entend rien. C’est inaudible. Pourquoi ? Parce que c’est un vortex d’énergie subtile qui est émis par l’émetteur. Quand on va sur YouTube et qu’on écoute les fréquences bienfaisantes, style 432 Herz, on les écoute avec nos oreilles. En fait, c’est du son mécanique. Ce sont les balles du casque ou de l’ordinateur qui entrechoquent les molécules d’air qui viennent frapper nos tympans et les terminaisons nerveuses qui sont associées à nos tympans vont transformer ça en son. Sauf que les énergies que je conçois et qui sont diffusées par l’émetteur scalaire sont inaudibles. C’est comme quand on va se ressourcer en forêt sans son mobile. La forêt n’émet pas de musique symphonique, même si les oiseaux chantent. Il n’y a pas une douce mélodie qui nous fait du bien. C’est autre chose. Ce sont les énergies subtiles de la forêt que l’on reçoit, les énergies des arbres, des plantes, du sol, du ciel . Et bien là, avec l’émetteur, c’est pareil. Et ce quelque chose subtile qui sort du boitier, c’est ce qu’on appelle un champ de torsion droit.

14- Quatorze – Un champ de torsion droit. C’est un flux d’énergie qui se diffuse naturellement de manière hélicoïdale sur la droite et qui valorise qui promotionne le vivant, à l’inverse du champ de torsion gauche qui est toxique et anti vivant. Mon diffuseur est conçu de telle manière qu’il ne peut émettre qu’à droite. Etc qui tourne à droite, Ce sont des énergies positives. Il y a à l’intérieur un dispositif électronique qui est baigné dans de la cire d’abeille parce que la cire d’abeille a une vertu de diffusion d’information extraordinaire. Quand l’abeille découvre un champ mellifère et qu’elle rentre dans la ruche, elle va faire vibrer ses ailes sur le rayon qui est rempli de cellules en cire. C’est comme si elle utilisait un langage vibratoire que toutes les abeilles pouvait entendre instantanément et être au courant de l’information à propos de la localisation du champ mellifère. Pour assurer encore un peu plus. Je mets une pierre de cheunguite sur l’émetteur qui a la vertu de diffuser les énergies positives sans capter les énergies négatives. Donc on n’a pas besoin de nettoyer la pierre chaque semaine.

15- Quinze – Très honnêtement, ça s’est fait petit à petit, de manière naturelle. Je pense que forcément, il y a eu un guide quelque part qui m’a aidé. En tout cas, je pars d’une intuition, j’expérimente. Si c’est pas ok on recommence autrement. On va dire une grosse intuition et beaucoup d’essais-erreurs pour quelques succès. Et de toutes façons, c’est le résultat qui compte.

16- Seize – Et quand je fabrique ces fréquences pour les gens, je leur dis qu’on est dans le subtil, l’invisible et l’inaudible. Pour avoir la preuve que ça marche, je leur demande d’analyser leur changement de comportement et de remarquer les nouvelles synchronicités qui se présentent à eux. Si je reprends mon exemple de blessure, d’abandon et si la fréquence que j’ai créée pour la personne fonctionne parfaitement, alors la personne elle-même va vivre des situations où elle n’st plus abandonnée et les gens qui venaient se nourrir sur elle de la blessure d’abandon vont voir ailleurs. C’est ainsi que la réalité de la personne va changer et que de nouvelles rencontres apparaissent.

17- Dix sept- Oui, ils me racontent ce qui a changé pour eux. Surtout dans leurs interactions avec les autres et dans les nouvelles situations qui leur arrivent, qui vont prouver que le boulot des fréquences énergétiques a été bien fait. Je te donne un exemple. Je travaille en ce moment avec un chef d’entreprise qui veut se débarrasser de clients toxiques mais il ne sait pas comment faire car cela fait 25 ans qu’ils sont en business ensemble même si c’est tendu la plupart du temps. Donc on a travaillé une fréquence particulière qu’il se diffuse deux fois par semaine. Et la semaine dernière, il m’a appelé. il m’a demandé si j’avais fait quelque chose à distance à ses clients insupportables. Je lui ai répondu que non car je ne fais pas ce genre de choses. Et bien il m’a annoncé qu’ils étaient partis d’eux mêmes. Sans heurt, tout naturellement. Pour moi, ce qui s’est passé est tout à fait compréhensible. C’est parce que sa résonance dissonante n’existe plus dans son corps vibratoire. Donc ces clients n’ont plus cet élément vibratoire qui les attire. Donc, comme ils sont plus nourris de cette manière là, eh bien ils vont voir ailleurs. Ils l’ont quitté.

18- Dix huit – Un grand grand merci pour cette interview Philippe. Au plaisir de se retrouver sur un autre podcast.

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1- Chère auditrice, cher auditeur, Bienvenu chez les passionnés par les énergies subtiles. J’ai le plaisir d’accueillir un géo et bio énergéticien qui travaille sur les fréquences et qui s’appelle Frédéric BUISSON. Son site web est frequences au pluriel tiret energétiques au pluriel sans accent point fr. Vous pouvez le joindre à cobuiss, c-o-b-u-i-s-s, arobace gmail (…) point (…) com. Bonjour Frédéric.

2- Alors, Frédéric, la bio-énergie, les fréquences, l’énergétique, les vibrations, Tous ces mots pour toi, ça veut dire énormément de choses . Tu peux nous expliquer ?

3- Et qu’est ce que tu en fais de ces énergies quand tu explore un site sacré. C’est toi qui ressent personnellement les énergies du Site Sacré.

4- Qu’est ce que tu en fais de ton ressenti ? Qu’est ce que tu fais quand tu vas sur ces lieux ?

5- Alors, c’est quoi fioles digitales ? C’est des petites clés USB, C’est quoi ? C’est comme des clés USB sur le bureau.

6- Est-ce que c’est parce qu’il y a ces sites que ces fréquences sont générées ou l’inverse ?

7- Comment t’es-tu rendu compte que les Sites Sacrés faisaient des choses ?

8- D’accord, Oui, donc, c’est comme ça que tu as pu voir que telle ou telle fréquence avait telle ou telle vertu.

9- Alors allons y maintenant. Comment tu diffuses justement ces fréquences ?

10- C’est une très bonne idée à fournir ces fréquences pour que les chefs d’entreprise la diffusent dans leur entreprise comme ça.

11- Mais, alors comment tu sais que telle personne a besoin de telle fréquence ?

12- Et donc la fréquence adéquate, tu la récupères dans ta bibliothèque ?

13- Mais, quand tu m’as montré, j’ai constaté qu’il n’y avait aucun son qui sortait du boitier.

14- C’est quoi un champ de torsion droit ?

15- C’est une idée personnelle. Où tu as été inspirée par d’autres gens ?

16- Et donc comment cela se passe-t-il avec tes clients ?

17- Et bien, Frédéric, cette interview passionnante touche à sa fin. Un grand merci à toi. Je rappelle ton site web est frequences au pluriel tiret energétiques au pluriel sans accent point fr. Vous pouvez joindre Frédéric à cobuiss, c-o-b-u-i-s-s, arobace gmail point com.

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Chapitre 2 : Les approches traditionnelles du corps énergétique humain

Comment les principales traditions ancestrales considèrent-elles l’énergie vitale de l’être humain et le corps vibratoire. Offrent-elles une perspective unique sur la dimension énergétique du corps ? Nous allons plonger au cœur de philosophies, de médecines et de spiritualités millénaires pour découvrir les différentes manières qu’avaient les anciens de considérer le corps énergétique, les centres vibratoires et les flux vitaux.

Aristote, Hippocrate, Paracelse, le prana hindou, le Qi chinois, les traditions celtiques et chamaniques, les Mayas, les Polynésiens et les sages d’Ethiopie… autant de portes d’entrée vers une compréhension plus profonde de l’être vibratoire et de son lien aux éléments, notamment au cosmos. En intégrant ces sagesses ancestrales, nous enrichissons notre vision du bien-être et de l’harmonie énergétique.

I. Fondements historiques

De tout temps, l’humanité s’est interrogée sur la nature énergétique de l’être humain. Chaque tradition ancestrale a développé sa propre vision de l’entité vibratoire complexe que nous sommes, animée par une force vitale fondamentale, une énergie qui distingue le vivant de l’inerte. Cette idée, présente depuis des millénaires, prend une forme plus concrète au siècle des Lumières avec le concept de « vitalisme », qui postule l’existence d’un principe vital inhérent aux organismes vivants. Des médecins de renom, comme Paul-Joseph Barthez et Théophile de Bordeu de l’école de médecine de Montpellier, s’inspirent alors des traditions ancestrales pour proposer leur compréhension du vivant, qui n’est en fait assise sur des connaissances passées. Explorons ces traditions pour mieux comprendre cette conception énergétique de l’être humain.

II. Les racines philosophiques occidentales

1. La contribution d’Aristote

Contrairement à Platon, pour qui l’âme était une entité immatérielle et immortelle, distincte du corps, Aristote considère l’âme comme indissociable de celui-ci, comme le souffle qui anime et insuffle la vie. Pour illustrer cette idée, imaginons un sculpteur et sa statue : la statue ne peut exister sans la matière, le marbre, mais elle ne prend forme et sens que par l’action du sculpteur. De même, pour Aristote, le corps est la matière, et l’âme est ce qui lui donne forme, structure et vie. Le philosophe grec développe notamment le concept d’entéléchie qui a été repris par certains vitalistes pour expliquer le « principe vital » qui anime les êtres vivants. Ces deux concepts très proches sont basés sur le principe interne qui guide un être vers sa réalisation pleine et entière. C’est une force qui pousse chaque chose à accomplir sa nature profonde, comme le gland qui contient déjà en lui le « programme » pour devenir un chêne.

2. L’apport d’Hippocrate

Hippocrate, considéré comme le père de la médecine occidentale, a développé une théorie qui met en avant l’équilibre des humeurs. Ces fluides circulant dans le corps humain sont essentiels à la santé. Selon lui, quatre humeurs fondamentales interagissent en nous : le sang, associé à l’air et caractérisé par sa chaleur et son humidité ; la pituite (ou phlegme), liée à l’eau, froide et humide ; la bile jaune, associée au feu, chaude et sèche ; et enfin, l’atrabile (ou bile noire), liée à la terre, froide et sèche.

Cette conception souligne la nature dynamique du vivant, où l’équilibre des énergies vibratoires est crucial pour le bien-être.

3. L’enrichissement de Paracelse

Paracelse, médecin et alchimiste du XVIe siècle, enrichit le vitalisme par sa notion « d’archée », une force vitale universelle puisée dans la philosophie grecque. Cette énergie invisible irrigue le monde, insufflant la vie à chaque être, chaque plante, chaque minéral. C’est l’archée qui, source de vie et de mouvement, organise et structure la matière. Chez l’homme, elle régule les fonctions vitales, favorise la guérison et maintient l’équilibre.

III. Les traditions orientales

1. L’approche hindoue

L’hindouisme offre une vision profonde du vitalisme à travers le concept de prana, souffle vital qui anime l’univers et l’être humain. Cette énergie subtile circule dans le corps à travers des canaux énergétiques appelés nadis, et se concentre dans des centres énergétiques nommés chakras. Le prana est source de vitalité, de santé et d’éveil spirituel. Il nourrit le corps et l’esprit, et connecte l’individu au cosmos. Le yoga et l’ayurveda sont des voies traditionnelles pour cultiver et harmoniser cette énergie vitale, source de santé et d’épanouissement.

2. La vision bouddhiste

Le bouddhisme accorde une place importante à l’énergie vitale, nommée Qi (ou Ki en japonais). Cette force invisible influence nos émotions, nos pensées et notre état d’être. La méditation est une pratique essentielle pour prendre conscience du Qi et le maîtriser. En calmant le mental et en se concentrant sur la respiration, on favorise sa circulation harmonieuse dans le corps et l’esprit. Les arts martiaux, comme le karaté ou l’aïkido, sont également des voies de développement du Qi, combinant mouvements fluides, concentration et respiration.

3. La perspective taoïste

Le taoïsme propose une vision où le Qi est non seulement une énergie vitale, mais aussi le principe fondamental à l’origine de toute manifestation dans l’univers. Ce Qi dynamique et omniprésent se manifeste sous deux aspects complémentaires : le Yin et le Yang. Le Yin, féminin et réceptif, représente la passivité, l’obscurité, le froid. Le Yang, masculin et actif, symbolise l’action, la lumière, la chaleur. Dans le corps humain, le Qi circule à travers des méridiens, canaux énergétiques qui irriguent les organes et les tissus. Le Tai-chi-chuan et le Qi Gong sont des pratiques corporelles qui visent à cultiver et harmoniser ce flux vital.

IV. Traditions celtiques et chamaniques

1. L’héritage celtique

La tradition celtique offre une vision sophistiquée de l’énergie vitale, profondément ancrée dans la relation entre l’homme et la nature. Au-delà de la notion de « nemeton » (lieu sacré), les Celtes développèrent une compréhension subtile des forces vitales qui animent le monde. Les druides, gardiens de cette sagesse, reconnaissaient trois cercles d’existence, à savoir le cercle des incarnations physiques, où circule l’énergie vitale terrestre dénommé « Abred », le cercle de l’esprit pur, source d’énergie céleste nommé « Gwynvyd » et « Ceugant », le cercle de l’infini, l’énergie divine primordiale. Dans cette vision, l’être humain est considéré comme un pont entre ces différentes dimensions énergétiques. Le corps physique (corff) est habité par une force vitale (anum) qui s’exprime à travers trois manifestations : le futh qui est l’énergie vitale basique, comparable au chi asiatique, l’awen qui est l’inspiration divine, force créatrice et le nwyfre qui est la force spirituelle qui relie l’être aux dimensions supérieures. Les lieux sacrés ou « nemetons » étaient considérés comme des points de convergence de ces énergies, où la force vitale de la terre (neart) était particulièrement accessible. Ces sites — arbres sacrés, sources, pierres levées — servaient de points d’ancrage notamment pour les rituels de régénération et d’harmonisation énergétique. nous verrons cela en détail dans un chapitre suivant.

2. Le chamanisme : une vision énergétique de l’être humain

Présent dans de nombreuses cultures à travers le monde, le chamanisme offre une perspective unique sur le corps énergétique et la force vitale. Cette tradition ancestrale perçoit l’être humain comme un microcosme, un reflet des énergies qui animent le macrocosme.

Selon la vision chamanique, l’être humain est composé de plusieurs couches vibratoires interconnectées : le corps physique, notre ancrage dans le monde matériel; le corps énergétique (ou corps de lumière), une matrice subtile qui soutient et vitalise le corps physique; le corps de rêve, un véhicule permettant de voyager dans les mondes invisibles et d’interagir avec les esprits; et le corps spirituel, le lien profond qui nous unit à la source universelle de vie.

Les chamanes identifient également des centres énergétiques spécifiques, véritables portes d’entrée vers ces différentes dimensions : le hara, situé dans le bas-ventre, est le centre de la force vitale terrestre, comparable au dan tien de la médecine chinoise; le cœur sacré, siège des émotions et de l’amour, permet de se connecter aux esprits et aux autres êtres; et la couronne, située au sommet du crâne, est le point de connexion avec les énergies célestes et la spiritualité.

Le chamanisme enseigne que la force vitale, souvent appelée « pouvoir personnel », circule à travers ces différentes couches selon trois axes principaux : l’axe vertical relie la terre au ciel, permettant de s’ancrer et de s’élever spirituellement; l’axe horizontal connecte l’individu au monde manifesté, favorisant les relations et l’harmonie avec l’environnement; et l’axe central représente l’alignement intérieur et l’harmonie entre les différentes dimensions de l’être.

La maladie est perçue comme un déséquilibre énergétique, une perte de pouvoir personnel pouvant résulter de divers facteurs : blocages énergétiques, qui entravent la libre circulation de la force vitale; intrusions d’énergies disharmonieuses, influences négatives provenant de l’environnement ou d’autres personnes; perte d’âme, fragmentation de l’énergie vitale suite à un traumatisme ou une expérience difficile; et rupture de la connexion avec les forces naturelles, éloignement du monde naturel et de ses rythmes.

Pour maintenir et restaurer l’équilibre énergétique, les chamanes utilisent diverses techniques : les rituels de purification nettoient les corps subtils par la fumigation, les bains rituels, etc.; les voyages chamaniques sont des expéditions dans les mondes invisibles pour récupérer des fragments d’âme, obtenir des informations et guérir; l’extraction permet d’éliminer les énergies stagnantes ou intrusives à l’aide d’outils spécifiques ou de techniques énergétiques; et les cérémonies de guérison sont des rituels collectifs visant à rééquilibrer l’énergie et à harmoniser l’individu avec son environnement.

V. Les Horizons Émergents : Traditions Énergétiques des Mondes Oubliés

  1. Les Treize Centres Vibratoires Mayas : Une Cartographie Cosmique

Pour les Mayas, le corps humain est bien plus qu’une simple enveloppe charnelle. Il est un territoire sacré, parcouru par treize centres énergétiques, chacun en résonance avec une dimension cosmique spécifique. Ces centres, véritables portails entre le monde matériel et les réalités supérieures, ouvrent l’accès à une profonde transformation intérieure.

Don Miguel, gardien des traditions de San Cristobal de las Casas, nous éclaire sur cette vision : « Le temazcal est un retour symbolique dans le ventre de la Terre Mère. La vapeur devient notre sang, les pierres chaudes notre cœur. Chaque respiration nettoie une couche énergétique, chaque goutte de sueur emporte une mémoire ancestrale. »

Le rituel du temazcal, véritable voyage initiatique, incarne cette philosophie. L’individu y meurt symboliquement pour renaître purifié, traversant ses treize dimensions intérieures comme autant de mondes à explorer. Ces centres vibratoires s’étendent du point racinaire, ancré dans la terre, au centre couronne, ouvert aux énergies divines, en passant par les centres solaire, cardiaque et frontal.

Parmi ces treize centres, on distingue :

  • Les centres corporels: le centre racinaire (connexion terrestre), le centre sacré (création et fertilité), le centre solaire (transformation personnelle), le centre cardiaque (amour cosmique), le centre de la gorge (communication spirituelle), le centre frontal (vision cosmique) et le centre couronne (connexion divine).

  • Les centres cosmologiques: le centre stellaire, le centre lunaire, le centre solaire, le centre tellurique, le centre interdimensionnel et le centre quantique.

Le témoignage de Don Miguel, guérisseur maya, illustre la puissance transformative du temazcal : « Quand nous entrons, nous mourons symboliquement pour renaître purifiés. C’est un voyage à travers nos treize dimensions intérieures. »

(Sources : Freidel, D., Schele, L., & Parker, J. (1993). « Maya Cosmos: Three Thousand Years on the Shaman’s Path » (William Morrow & Co, pp. 132-156) ; Tedlock, B. (2010). « Time and the Highland Maya » (University of New Mexico Press, pp. 78-92))

  1. Le Mana Polynésien : L’Énergie Collective

Le Mana polynésien transcende la conception individuelle de l’énergie. Ce n’est pas une force personnelle, mais une puissance collective qui relie les êtres, la terre, l’océan et les ancêtres.

Kahuna Nui Kalani, chef spirituel hawaïen, partage cette sagesse : « Un chef possède du Mana non par sa naissance, mais par ses actions qui servent la communauté. Mon grand-père disait : ‘Ton Mana grandit quand tu donnes plus que tu ne reçois’. »

Les grandes pêches collectives à Tahiti illustrent parfaitement cette dynamique. Les pêcheurs racontent comment, sans un mot, ils se coordonnent comme un seul organisme, guidés par une intelligence collective invisible, où chaque geste participe à l’harmonie du groupe.

Sources :

  • Handy, E. S. C. (1927). « Polynesian Religion » (Bernice P. Bishop Museum Bulletin 34)

  • Kirch, P. V. (2010). « How Chiefs Became Kings » (University of California Press)

  1. Les Mondes Invisibles en Éthiopie : Une Dialogue Spirituel

En Éthiopie, la maladie n’est pas perçue comme un dysfonctionnement physique, mais comme une interruption du dialogue avec les mondes invisibles. Les guérisseurs se considèrent comme des traducteurs, des passeurs entre réalités.

Un guérisseur Lemba explique : « Quand un corps souffre, c’est que la communication spirituelle est interrompue. Notre rôle est de rétablir ce lien. Par exemple, si un jeune tombe malade après avoir ignoré un rêve de son grand-père décédé, le rituel consistera à reconnaître ce message non transmis, à demander pardon, et à restaurer le dialogue. »

Chaque tradition révèle ainsi une vérité universelle : notre corps est bien plus qu’une simple enveloppe biologique. Il est un écosystème dynamique, un réceptacle de forces cosmiques en perpétuel dialogue, où chaque souffle, chaque émotion, chaque intention résonne avec des dimensions invisibles mais infiniment présentes.

Sources :

  • Levine, D. (1974). « Greater Ethiopia » (University of Chicago Press)

  • Consuming Fire: The Lemba Book of the Thread of Fire (Manuscript anthropologique, non publié)

V. Convergences et universalité

Ces traditions ancestrales, bien que distinctes, partagent des points communs fondamentaux :

  • La reconnaissance d’une force vitale universelle

  • La conception multidimensionnelle de l’être humain

  • L’importance de l’équilibre et de l’harmonisation énergétique

  • Le rôle crucial de la connexion avec la nature

  • La nécessité de pratiques régulières pour maintenir la vitalité

Ces approches traditionnelles offrent des perspectives précieuses pour comprendre et travailler avec l’énergie vitale. Leur persistance à travers les âges et leur présence dans des cultures géographiquement éloignées suggèrent qu’elles touchent à des réalités fondamentales de l’expérience humaine.

1. Comparaison des traditions ancestrales des énergies du corps humain

À travers les âges et les continents, des traditions ancestrales ont développé des rituels de bien-être énergétique, précieux témoignages d’une sagesse profonde et d’une connexion intime avec les forces de la nature. Explorons succinctement ces pratiques et comparons leurs approches pour mieux découvrir les points communs qui les unissent malgré leur diversité.

2. Des chamanes sibériens aux mondes oubliés :

En Sibérie, les chamanes, véritables intermédiaires entre les mondes, plongent au cœur des trois niveaux de la réalité pour soigner ce qui pourrait affecter l’âme. Par la transe et le rythme envoûtant du tambour, ils voyagent dans le monde supérieur des esprits bienveillants, le monde du milieu où vivent les humains et le monde inférieur, source des maladies. Avec l’aide de leurs esprits auxiliaires, ils récupèrent les fragments d’âme égarés, extraient les énergies néfastes et restaurent l’équilibre vital par le souffle, les chants et des objets de pouvoir. Leur conception tripartite de l’âme et leur maîtrise des états modifiés de conscience témoignent d’une connaissance approfondie des mécanismes subtils de la vie.

Dans les forêts celtiques, les druides, gardiens de la sagesse naturelle, célèbrent l’harmonie entre l’homme et la nature. Au cœur des « nemeton », les lieux sacrés imprégnés de la puissance des arbres et des courants telluriques, ils invoquent les forces de la terre et les esprits de la nature. Guidés par les cycles lunaires, ils utilisent le gui, le chêne et l’if, plantes sacrées aux vertus guérisseuses, et récitent des incantations pour aligner les énergies du corps, de l’esprit et de l’âme. Leur connaissance des plantes médicinales et leur respect des rythmes naturels s’inscrivent dans une vision holistique de la santé, où l’équilibre intérieur répond à l’harmonie du cosmos.

Sur les terres d’Amérique, les « medicine men » amérindiens tissent un lien sacré entre l’individu, la communauté et l’univers. La hutte de sudation, véritable matrice de purification, prépare le corps et l’esprit à la rencontre des forces guérisseuses. Guidés par les quatre directions sacrées, ils invoquent les esprits de la nature et utilisent les chants de pouvoir, la pipe sacrée et les plumes d’aigle pour restaurer l’équilibre. Leurs visions et leurs rêves, portes ouvertes sur le monde spirituel, les éclairent dans le diagnostic et le traitement des maladies.

En Afrique, la guérison est une danse vibratoire, une célébration de la force vitale (ashé) et de la connexion aux ancêtres. Les rituels, rythmés par les tambours et les chants, unissent les participants dans une transe collective, favorisant la circulation des énergies et la libération des blocages. Les objets chargés (gris-gris) et les danses sacrées amplifient la puissance du rituel et renforcent le lien avec les forces invisibles. La guérison, véritable acte communautaire, s’inscrit dans une vision où l’individu est indissociable de son groupe et de ses ancêtres.

Dans le vaste territoire australien, les Aborigènes nous rappellent le lien profond qui unit l’homme à la terre et au Temps du Rêve, source de toute création. Les guérisseurs, gardiens des lignes de chant sacrées qui parcourent le territoire, utilisent les chants, les peintures corporelles et les cristaux de quartz pour rétablir l’harmonie et guérir les blessures physiques et spirituelles. Leur connexion à la terre et leur connaissance des sites sacrés témoignent d’une sagesse millénaire et d’une profonde compréhension des énergies subtiles.

La vision polynésienne du Mana comme force collective plutôt qu’individuelle offre une perspective unique sur la nature sociale de l’énergie vitale. Les Celtes, avec leur triade énergétique (futh, awen, nwyfre), proposent une compréhension sophistiquée des différentes manifestations de la force vitale. Les Mayas, quant à eux, établissent une correspondance précise entre les centres énergétiques du corps et les dimensions cosmiques.

3. Convergences et singularités :

L’héritage de ces traditions continue d’influencer les approches thérapeutiques modernes. Leur intégration croissante dans les pratiques de santé contemporaines témoigne de leur pertinence persistante. La validation scientifique progressive de certains concepts ancestraux, notamment en ce qui concerne les effets de la méditation et des pratiques énergétiques, confirme la sagesse inhérente à ces traditions.

Le défi contemporain réside dans la préservation de l’authenticité de ces enseignements tout en les adaptant aux besoins modernes. La transmission de ces savoirs millénaires nécessite un équilibre délicat entre fidélité aux sources et adaptation au contexte actuel. L’intégration de ces approches dans la médecine moderne offre des perspectives prometteuses pour une compréhension plus holistique de la santé et du bien-être.

Ainsi, cette étude comparative des traditions énergétiques ancestrales révèle une sagesse universelle sur la nature énergétique de l’être humain. Leurs différences apparentes masquent une unité profonde dans la compréhension de notre nature multidimensionnelle. Cette richesse de perspectives complémentaires constitue un précieux héritage pour notre compréhension contemporaine de la santé et du développement humain.

VII. Conclusion

Ce voyage à travers les traditions ancestrales nous révèle une vérité fondamentale : malgré leur diversité apparente, toutes ces approches convergent vers une compréhension commune du corps énergétique humain. De l’Occident à l’Orient, des forêts celtes aux temples mayas, chaque culture a développé sa propre cartographie de l’être vibratoire, tout en partageant des principes universels.

Que l’on parle du prana hindou, du Qi chinois, du Mana polynésien ou de l’archée de Paracelse, ces traditions reconnaissent toutes l’existence d’une force vitale fondamentale qui anime le vivant. Cette énergie, loin d’être une simple abstraction philosophique, structure notre réalité physique et spirituelle à travers des réseaux complexes de circulation et des centres des énergies du corps humain.

La richesse de ces approches réside dans leur complémentarité. Là où la médecine hippocratique nous éclaire sur l’équilibre des humeurs, le chamanisme nous guide vers une compréhension des différentes dimensions de l’être. Quand la tradition maya nous révèle une cartographie précise des treize centres vibratoires en lien avec le cosmos, la sagesse polynésienne nous rappelle la dimension collective de l’énergie vitale.

Ce que les anciens percevaient intuitivement et exprimaient à travers leurs pratiques traditionnelles trouve aujourd’hui un écho dans les technologies de pointe. Les outils modernes d’analyse énergétique bio-physique nous permettent désormais de cartographier avec précision ces champs vibratoires que les guérisseurs traditionnels détectaient par leur sensibilité aigüe. Cette convergence entre sagesse ancestrale et innovation technologique ouvre des perspectives fascinantes pour la compréhension et l’harmonisation du corps énergétique.

Les bilans bio-énergétiques contemporains, en s’appuyant sur des technologies de mesure sophistiquées, permettent d’identifier avec exactitude les qualités, les déséquilibres et les besoins énergétiques spécifiques de chaque individu. Cette approche scientifique, héritière des traditions millénaires, offre la possibilité d’une intervention ciblée et personnalisée, où les fréquences thérapeutiques peuvent être précisément proposées pour répondre aux besoins identifiés.

Ainsi, loin d’être des reliques du passé, les connaissances énergétiques ancestrales constituent le fondement d’une médecine vibratoire moderne, où la technologie et la tradition se rejoignent au service du bien-être humain. Cette synthèse entre l’ancien et le nouveau nous permet d’aborder le bien-être des personnes dans sa dimension la plus complète, en tenant compte de la nature profondément vibratoire de notre être.

Le défi qui se présente à nous est d’intégrer harmonieusement ces deux approches : la profonde sagesse des traditions ancestrales et la précision des technologies modernes. Cette alliance nous permet d’offrir une réponse plus complète et plus efficace aux défis de santé contemporains, en traitant non seulement les symptômes, mais en restaurant l’équilibre énergétique fondamental de l’être.

À présent que nous avons exploré ces riches traditions ancestrales, il est temps de nous pencher sur les développements contemporains dans la compréhension du corps vibratoire humain. Le prochain chapitre nous plongera au cœur des approches actuelles, où la science moderne, à travers la physique quantique, la biologie cellulaire et les technologies de pointe, vient éclairer d’un jour nouveau ces connaissances millénaires. Nous découvrirons comment les recherches récentes portant sur le corps vibratoire humain permettent de renforcer ce que pensaient les anciens et d’ouvrir notre compréhension des énergies subtiles animant l’être humain.

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